découvrez l'opportunité d'affaire
de la plante à vous !
 
Anecdotes Historiques   Médecine Ayurvédique    
Alexandre le Grand, M. Miller ...
2 anecdotes historiques autour de l'Aloé Véra Barbendensis Miller ...

En savoir plus
  L'aloé Véra été inscrit de bonne heure dans la pharmacopée de la médecine ayurvédique, la médecine traditionnelle de l'Inde...
En savoir plus
 

Un peu d'histoire...

La connaissance des vertus thérapeutiques et cosmétiques de l'Aloès étaient déjà bien connues dans l'antiquité voilà 5000 ans. On retrouve des traces sur les vertus thérapeutiques de l'Aloès auprès de nombreuses civilisations anciennes :

Civilisation sumérienne :

Sur des tablettes d'argile sumériennes découvertes dans les ruines de Nippur datées de 3000 ans avant JC.

Civilisation chinoise :

Le Pen T'sao, l'un des premiers ouvrages sur les plantes médicinales, qui date également du 3ème millénaire avant JC, et surtout l'illustre Li Che Tchen qui a révisé ce traité au XVIème siècle, classe l'Aloès parmi les plantes aux vertus thérapeutiques majeures sous l'appellation de « Remède d'harmonie » et la considère comme la plante spécifique du traitement des brûlures et des affections de la peau.

Civilisation mésopotamienne :

L'Aloès apparait encore sur des tablettes d'argile gravées en caractères cunéiformes, remontant au IIème millénaire avant JC, découvertes dans les ruines de l'antique Elba en 1973.

Civilisation égyptienne :

Avec le fameux papyrus d'Ebers (nom de celui qui l'a déchiffré après sa découverte dans les ruines de Louksor) écrit à Thèbes au cours du IIème millénaire avant JC, le plus ancien document de la médecine égyptienne parvenu jusqu'à nous. Cet ouvrage, qui a pour titre : « Livre de préparation de médicaments pour toutes les parties du corps humain », reproduit en signes hiéroglyphes de nombreuses formulations à base d'Aloès.
Dans l'Egypte ancienne l'Aloès était considéré comme un « élixir de longue vie ». La tradition voulait que l'on apportât un plant d'Aloès, symbole de renouvellement de la vie, comme cadeau, lors de cérémonies funéraires. Il avait par ailleurs la réputation de garder aux femmes leur beauté et leur éclat. On raconte même que Cléopâtre utilisait cette plante reconnue pour ses bienfaits pour la peau tant pour la soigner que pour l'embellir.

Civilisation arabe :

Dès le VIème siècle avant JC, elle fut la première à produire des extraits commerciaux d'Aloès à base de sève et pulpe mélangées. Ces extraits résineux, qui servaient surtout de laxatifs, amis aussi bien à d'autres usages internes et externes, ont largement contribué à la diffusion de l'Aloès dans de nombreux pays du Moyen-Orient et d'Asie.

Civilisation indienne :

L'aloès figure en bonne place parmi les plantes majeures citées dans les textes fondamentaux de l'Hindouisme consacrés aux plantes et aux préparations secrètes destinées à soigner toutes sortes de maladies sous l'appellation de « Guérisseur silencieux »

Civilisation gréco-romaine :

De nombreux traités d'Hyppocrate, Dioscoride ou Pline l'Ancien font également état de ses riches vertus. Elle est conseillée pour soigner les blessures et les brûlures, les affections cutanées, coagule le sang, les blessures oculaires, les maux d'estomac et soulage les dysenteries.

Civilisation africaine, amérindienne et autre :

Bien qu'il n'existe aucune trace d'écrits anciens il est pratiquement improbable que ces civilisations n'aient pas connu l'aloès. Les Mayas appelaient cette plante : « Fontaine de Jouvence ».

En Occident :

Ce fut lors des Croisades que les chrétiens d'Occident découvrirent les vertus de l'Aloès que leurs adversaires musulmans considéraient comme le remède par excellence. Au cours des conquêtes, les Arabes acclimatèrent l'Aloès en Afrique du Nord et en Andalousie. C'est grâce à l'aloès que les marins espagnols de la Santa Maria, décimés par la maladie et la malnutrition, seront partiellement sauvés. Christophe Colomb l'appela le « Docteur en pot ». Dès lors, les espagnols en transportèrent toujours à bord de leurs navires pour se préserver du scorbut. De l'Occident jusqu'en Orient, cette plante bienfaisante soignait les plaies des guerriers.

Epoque contemporaine :

Depuis une cinquantaine d'années, les recherches sur les vertus de l'Aloès se poursuivent auprès de chercheurs américains et russes et donnent lieu à de nombreux travaux analytiques et phamacologiques, cliniques qui confirment les usages médicaux de toutes les traditions ancestrales et en découvrent même d'autres.

C'est après 1968, grâce aux recherches d'un pharmacien Texan aux Etats-Unis nommé Bill Coats sur la stabilisation de la pulpe fraîche de l'Aloé véra que cette plante va connaître l'essor qu'on lui connait aujourd'hui dans le monde entier. En effet, sans la mise au point d'un tel procédé, aucune possibilité de commercialisation à grande échelle n'aurait été possible.